Suite a l'annonce de la création imminente du Conseil des Gabonais de l'Extérieur sur le site Gabonews, la Fédération PDG des Etats-Unis a appelé ce Jeudi 1er Mars 2012 a la consultation de toutes les forces vives de la Diaspora comme préalable a la mise sur pieds de ladite structure. Il s’agit des associations des Gabonais a l’étranger, des groupes politiques et des operateurs économiques gabonais évoluant dans de nombreux pays a travers le monde.
Une démarche inclusive et apolitique.
<< Le conseil des
Gabonais de l’extérieur ne doit être assimilé à une association des Gabonais de
la Diaspora mais plutôt a un organe qui aurait pour mission a l’instar des
Conseils de la Diaspora d’autres pays d’être une interface entre la
diaspora Gabonaise dans son entièreté et le Gouvernement Gabonais. Il serait
donc important de consulter puis faire participer les groupes organises des
gabonais dans différents pays. La démarche doit être inclusive et non exclusive
et surtout elle se doit d’impliquer tous les gabonais sans distinction
d’appartenance politique.
<<La creation d’un Conseil des Gabonais de l’extérieur ne prenant pas en
compte ces aspects serait simplement contraire aux aspirations du Chef de
l’Etat, Son Excellence Ali Bongo Ondimba >> déclare Hermann KAMONOMONO,
Secrétaire Fédéral du PDG aux Etats-Unis.
<< Nous ne pouvons pas nous permettre à ce moment déterminant de l’émergence de notre jeune nation de faire dans l’unilatéralisme. Avec plus 25.000 Gabonais vivant a l’extérieur, lorsqu’on veut mettre sur pieds une structure qui aura pour mission de susciter la participation de la Diaspora dans le processus de développement du pays, les principaux concernés doivent être impliqués. L’échec des précédentes tentatives de création d’association de Gabonais de la Diaspora est attribuable au manque de concertation et d’implication des forces vives de la diaspora. Nous nous devons de donner la possibilité a ceux qui veulent bien participer de le faire>> rajoute-t-il.
La Fédération PDG des Etats-Unis propose donc que le CGE soit composee de délégués élus ou désignés (en fonction du merite ou d’accomplissement) issus des groupes politiques, associations de ressortissants des Gabonais, reconnus par les autorités des pays de résidence, et régulièrement enregistrées auprès des missions diplomatiques ou consulaires couvrant les aires géographiques de résidence des ces derniers pour une durée determinee ( deux a trois ans), renouvelable une fois. Ces derniers representeront les zones géographiques suivantes : Afrique Subsaharienne et australe ; Europe; Maghreb, Golfe et Moyen-Orient; Amérique et Asie. Chaque Zone aura un minimum de 5 delegues certains zones a forte concentration demographique pourraient voir le nombre de delegues majore.
La Fédération PDG des Etats-Unis appelle les Camarades issus des fédérations de l’extérieur a murir la reflexion sur ledit Conseil au risque de mettre sur pieds une structure fortement politisée dont les bénéficiaires n’auront aucunement participe a son édification, autrement dit de refaire les meme erreurs du passe.
C'est ainsi que les montagnes de nos forets (de bonnes intentions et de bons
projets) accouchent-elles regulierement des souris.
Federation PDG des Etats-Unis.
Très cher Patrick Ambamany, alias Allhen Allhan,
Ex cheminot de l’OCTRA, Pseudo UPGistes des USA,
Nous membres et sympathisants du Parti Démocratique Gabonais aux Etats-Unis d’Amérique, souhaitons vivement vous exprimer notre devoir de réponse suite à votre courrier intitulé « Droit de réponse à Monsieur Ali Bongo Ondimba, et le régime PDG: Affaire Ambassadeur Michael Moussa Adamo ».
A priori, il serait opportun que vous puissiez trouver le temps nécessaire de méditer sur cet adage, à savoir « Nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes ». En l’espèce, vous ne pouvez pas invoquer vos carences intellectuelles, votre ignorance, votre naïveté, ainsi que votre amateurisme et immaturité politique comme moyen de défense par rapport à la situation qui prévaut.
Le vendredi 9 décembre 2011, c’est bien le pseudo UPG Amérique du Nord, qui se limite étonnamment à deux personnes, à savoir vous Patrick Ambamany alias Allhen Allhan et votre valet, l’auto proclamé pasteur, André Bouassa, qui a organisé le piquet de grève aux abords des locaux de l’Ambassade du Gabon à Washington DC.
En votre qualité d’organisateur, vous aviez la responsabilité de veiller à la sécurité des passants se trouvant dans le champ de votre manifestation mais hélas, tout un chacun a été édifié par l’ampleur de vos incompétences d’organisateur et de vos incohérences de communicateur par rapport l’acte ignoble, abject, rétrograde et barbare commis par votre barbouze, Léon Obame.
Tant par la forme et que par le fond, votre supposé droit de réponse s’apparente plutôt à un enchevêtrement d’arguments dénudés de toute cohérence et n’ayant aucune connexion avec le faits-divers dont vous occupez la tête d’affiche. Cet empressement à vouloir justifier l’injustifiable par des amalgames grotesques démontre clairement la confusion qui vous anime en ce moment et nous vous recommandons vivement de prendre sans plus tarder les conseils d’un bon avocat car à travers votre courrier vous vous incriminez une fois de plus. En réalité, vous démontrez une fois de plus à la face du monde vos lacunes et surtout votre carence d’intégrité intellectuelle digne de l’ex-cheminot de l’OCTRA que vous êtes.
Pour des pseudos représentants d’un parti politique, qui se veut d’être l’union du peuple, vos méthodes et moyens d’expression politique sont plus qu’effarant, choquant, et décapant. Plutôt que d’être rassembleur, vos actes sont de nature à non seulement diviser la diaspora gabonaise des Etats-Unis d’Amérique, à jeter le discrédit sur une formation politique que vous avez pris en otage afin de service vos ambitions pécuniaires, mais à également ternir la réputation légendaire d’hospitalité du peuple gabonais ainsi que le model politique établit par Feu l’Honorable Pierre M. Mamboundou en associant la médiocrité de l’erreur de la nature que vous êtes a sa respectable formation politique.
Chers égarés politiques, Patrick Ambamany et André Bouassa, vous dites « …tentent d'intoxiquer et manipuler la population gabonaise et l'opinion internationale afin de prouver au monde entier qu'ils ont devant eux une opposition irresponsable composée de certains malades mentaux brûlant les ambassades et frappant sur les diplomates….. J'ai vu Son Excellence Michael Moussa étendu au sol après qu'il ait heurté la bicyclette qui était entre lui et la personne impliquée dans cet incident…. Monsieur Léon Obame à ma connaissance n'a pas porté mains à son Excellence ». Mais réalisez combien de fois vos propos sont autant d’entraves à la recherche de la vérité par rapport à l’acte commis par votre barbouze? Si vous le faites délibérément, il serait temps que vous arrêtiez cette malhonnêteté intellectuelle car vos divergentes dépositions sont les unes après les autres contredites par des témoins intègres. En effet, comme le dit si bien Monsieur Scott McCabe, journaliste du Washington Examiner, dans son récent article intitulé « Ambassador of Gabon bloodied outside D.C. embassy », plusieurs témoins oculaires, ne partage pas vos affabulations et fourberies. Que vaux votre parole face à celle d’un officier de police assermenté ayant suivi toute l’acte d’agression commis par votre barbouze. Sans oublier qu’à pareille endroit névralgique, il a toujours des caméras de sécurité installées. Pensez-vous que vos dépositions erronées et mensongères auront plus de crédibilité devant un juge contre les déclarations d’un Agent des Services Secrets Américains ayant dressé le procès-verbal décrivant toute l’odieuse scène d’agression commis par votre épouvantail de Léon Obame sur Son Excellence Michael Moussa Adamo?
Le peuple gabonais prend a témoin vos agissements et se pose plus que jamais des questions sur votre intégrité, votre crédibilité et sur votre moralité après avoir relevé toutes vos déclarations contradictions durant vos intervention radio-vidéo sur Jacques Roger Show. Nous étions en droit d’espérer du pseudo pasteur autoproclamé André Mbouassa, qu’il puisse ramène la brebis égarée que vous êtes à de meilleurs chemins mais hélas, c’est l’inverse qui se produit devant nos yeux. Le présupposé berger est conduit dans les méandres de la médiocrité et des abimes de la fourberie. Notre bienaimé pseudo pasteur serait-il tellement naïf ou novice en la politique du ventre au point de se laissé aussi ouvertement éconduire par le super roitelet que vous êtes?
Votre manque de lucidité et de volonté manifeste à condamner l’acte ignoble commis par votre marionnette de service, témoigne à suffisance de votre inconscience et/ou immaturité politique à préserver la respectabilité et l’honorabilité des symboles et des institutions de la république contre tous vents et marées.
En vous réjouissant longuement sur votre medium de communication radio-vidéo par rapport à cet acte odieux, vous montrez à la communauté nationale et internationale tout entière les limites de votre bon sens de cheminot de l’OCTRA et de pseudo pasteur autoproclamé, l’insolence et l’insouciance de vos déclarations révèlent aux grands jours votre vrai visage de leaders d’opérette de l’opposition gabonaise aux Etats-Unis. Heureusement que le ridicule ne tue point.
Désormais le monde entier retient de vous l’image d’un groupe de comploteur imbue de leur auréole d’opposant de pacotille au passée sulfureux, douteux, et pitoyable qui essaie de se faire un nom sous la bannière d’un parti politique dont vous avez nullement reçu l’onction légale d’en être les portes paroles et dont vous avez nullement les qualités d’en être des leaders. Le leadership que vous réclamez est bien celui de la barbarie, de la violence et de celui l’arbitraire. A juste titre, vous avez désormais les pleins droits de vous prévaloir d’être les dignes représentants d’une association d’agresseurs afin d’assouvir vos basse besogne.
Vous essayez tant bien que mal de vous départir de l’image négative qui vous colle à la peau et dont la communauté se fait de vous mais vous n’arrivez toujours pas à convaincre votre audience sur le caractère sérieux de vos propos. Pourquoi les versions officielles de l’agression commis sur l’Ambassadeur changent-elles sans arrêt au sein de vos rangs? Pourquoi avez-vous du mal à construire un argumentaire solide pour la justification d’un pareil acte barbare? Afin de simplifier votre raisonnement, nous vous suggérons humblement d’arrêter de justifier l’injustifiable car vous ne parviendrez jamais à convaincre qui que ce soit. Par ailleurs, toute personne rationnelle convaincue que tout acte de violation de l’intégrité physique envers un homme inoffensif est contreproductif à moins que vous soyez dans une logique de barbare.
Chers compatriotes Patrick Ambamany et André Bouassa vous êtes tous autant coupable que l’auteur de l’agression sur l’Ambassadeur tout juste pour avoir été les organisateurs d’une manifestation violente.
Pour votre gouverne, la liberté d’opinion et d’expression sont généralement considérées comme des libertés fondamentales de l'être humain mais l'exercice de ces libertés comporte des devoirs et des responsabilités pouvant être soumis à certaines formalités, conditions, restrictions ou sanctions prévues par la loi. Ces dispositions constituent des mesures nécessaires, dans toute société démocratique, à la protection de la morale, à la protection de la réputation ou des droits d'autrui, et à la protection des biens et des personnes, sous réserve d'en répondre devant les tribunaux des juridictions compétentes.
Aussi nous exhortons les gouvernements américain et gabonais à redoubler à plus de fermeté et à utiliser toutes les ressources légales pour faire du cas Léon Obame un exemple légendaire de jurisprudence transfrontalière pour que plus jamais pareil acte ne se reproduise. Y’en a marre de cette pseudo opposition insouciante et incivique.
Pour la Federation PDG des Etats-Unis
La Commision de Defense et d'Analyse de
la Politique du Gouvernement
Suite a l'usurpation intolérable de l'identité de son Excellence Michael MOUSSA ADAMO, Ambassadeur du Gabon aux États-Unis par des membres de l'opposition dite radicale opérant aux États-Unis sur le réseau social Facebook, la Fédération PDG des États-Unis condamne avec fermeté cette attitude rétrograde, antipatriotique, irresponsable, délinquante, impubère, puérile, irrévérencieuse et défiant toutes les bassesses cyniques et satiriques en politique politicienne et appelle a une fermeture immediate de ce compte fictif aux propos dignes de l'age barbare.
Comment comprendre que des pères et mères de Familles, se disant leaders d'un mouvement politique peuvent se convaincre du bien fondé de la pratique constante du culte de l'injure, de l'invective, de la diffamation, de la calomnie de la médisance a l'endroit des dignitaires de la République et des plus hautes autorités de l'État ? En effet, ces derniers ont en toute illegalite ouvert un compte Facebook auquel ils ont attribué le patronyme de Son Excellence Michael Moussa Adamo proférant des injures animalières a l'endroit de la 1ere Dame du Gabon Sylvia Bongo Ondimba et son époux Ali Bongo Ondimba, Président de la République Gabonaise. Ces agissements outre passent le droit a la liberté d'expression et constituent des délits impardonnables d'outrage aux dépositaires de l'autorité de l'État comme stipulé au Chapitre XI du code Pénal Gabonais.
Vue la nature gravissime de ce comportement, nous demandons a son Excellence Michael Moussa Adamo de porter plainte contre le ou les auteurs de ce délit aussi bien auprès des tribunaux Gabonais qu'américains afin que les responsables de ces actes soient punis conformément aux dispositions des lois Gabonaise et Américaine.
Par ailleurs, la Federation PDG des Etats-Unis, prenant a témoin tous les compatriotes Gabonais vivant aux Etats-Unis ainsi que les observateurs amis de la vie politique Gabonaise, met en Garde les membres de ladite opposition radicale contre la promotion des actes antipatriotiques, antirépublicains et anticonstitutionnels et rappelle ces derniers a la pratique d'un activisme civilisé et responsable.
Fait a Washington D.C. le Mercredi 07 Décembre 2011
La Commission de Defense de la Politique du gouvernement
et des Dignitaires de l'Etat.
Fédération PDG des États-Unis
Il a dit, au cours de cette réunion, ne pas se reconnaître dans les différentes déclarations faites sur les médias par le porte-parole, Thomas Ibinga.
Déclarations selon lesquelles, l’UPG n’irait pas aux élections et serait membre des partis frondeurs.
Tous les élus de l’UPG, favorables à la participation de leur parti au scrutin, ont participé à cette réunion.
Depuis la disparition du leader de ce parti, Pierre Mamboundou, le 15 octobre dernier, l’UPG semble confrontée à un problème de leadership. Seul un congrès pourrait recadrer les choses et ramener la sérénité.
Parmi les malfaiteurs se trouvent un Camerounais, un Burkinabé, un Togolais et deux sujets Nigérians.
D’après les faits rapportés, ce gang aurait bénéficié des informations de leur acolyte burkinabé, par ailleurs gardien du domicile de leur dernière victime.
Ces derniers auraient été trouvés en possession de nombreuses armes et munitions diverses.
Un autre cas, relevant des services de la PJ, a aussi été présenté à la presse.
Il s’agirait d’un Gabonais de 33ans pris en flagrant délit de braquage à main armée (pistolet) au quartier Awendjé dans le 4ème arrondissement de la commune de Libreville.
Tous ces malfrats seront présentés devant le procureur du tribunal de première instance de Libreville afin d’être jugés.
Etre opposant signifie-t-il qu’on doit s’opposer à tout ?
Du fait de l’abondance de récriminations et autres critiques envers le pouvoir en place ayant à sa tête Son excellence Ali Bongo Ondimba, notre président, la question mérite d’être posée.
Loin de moi le désir de porter un jugement sur les partis d’opposition et au-delà de toute considération partisane pour la famille politique à laquelle j’appartiens, le Parti Démocratique Gabonais, mais force est de constater que malgré tous les efforts fournis par le chef de l’état depuis son accession, il y a deux ans, à la magistrature suprême, AUCUN et je le répète encore AUCUN des partis de l’opposition via leurs leaders et autres porte paroles et encore moins ceux qui se cachent derrière l’appellation société civile, ne le reconnaissent.
Pourquoi en est-il ainsi?
Les explications quant à cette ignorance pourraient être nombreuses.
La première serait, de manière évidente, à chercher dans le fait que bon nombre de ces Néo-opposants à l’image de Jean Eyeghe Ndong conserveraient toujours une dent envers celui qui avait, à l’époque, été désigné par consensus et ayant reçu l’onction du parti pour le représenter aux dernières échéances présidentielles parce qu’ayant été jugé le plus à même de porter haut et loin ses couleurs. Dans ce cas de figure, il s’agirait de ne JAMAIS reconnaître les efforts entrepris par notre président en s’opposant à lui, en tant que personne individuelle. Nous nous souviendrons d’ailleurs que la formule « Tous Sauf Ali » était à maintes reprises évoquée. Malgré tout cela, le résultat, nous le connaissons! Beaucoup de chantiers on été mis en œuvre; certains sont sortis de terre et d’autres sont toujours en cours.
La seconde, résulterait de l’absence, dans l’analyse des politiques mises en œuvre, d’objectivité de nos acteurs politiques qui ne serait enclin à reconnaître le travail effectué que s’ils en étaient les auteurs. Parce que, dès son arrivée à la tête de l’état, le Président Ali Bongo Ondimba s’est attelé à matérialiser ses programme pour faire de notre pays dans un futur proche, un pays émergent. Pour cela, des réformes dans tous les secteurs ont été entreprises et deux ans après, nous en voyant les retombées malgré les critiques de l’époque quant à l’infaisabilité de certains projets en fustigeant son incapacité à les conduire à terme. L’opinion publique, elle, bien que sceptique au départ mais tout en laissant le bénéfice du doute est aujourd’hui reconnaissante et enthousiaste à l’idée que d’autres projets puissent aboutir pour ainsi améliorer davantage leurs conditions de vie. La satisfaction de cette opinion a pu être observée lors des conseils des ministres délocalisés où les populations se sont massivement, dans tous les départements, présentés devant lui lors de ses visites. La reconnaissance du travail bien fait dans les projets étant arrivés à terme, les a conforté. Ils ont profité de l’occasion pour en demander d’autres. En tout cas, les rediffusions et autres éditions spéciales n’ont pas pu passées inaperçues à leurs yeux. Mais bon, ne dit-on pas qu’il n’y a pas plus aveugle que celui qui ne veut voir?
La troisième, serait simplement comme le dit le titre qu’il faille s’opposer à tout lorsqu’on est opposant. Certains ne l’on pas comprit de cette oreille à l’instar du regretté, Pierre Mamboundou, Président de l’UPG qui, durant toute la majeure partie de sa vie aura été un opposant digne de ce nom avec sa détermination et sa foi pour combattre et ainsi parvenir à faire partager et faire entendre sa voix aux différentes sensibilités politiques pour améliorer nos lendemains. Nous lui en sommes gré et adressons un ultime adieu.
En tant que citoyen attaché aux valeurs démocratiques, je requiers que nos opposants soient dignes, objectifs et qu’ils aient un sens élevé de la république notamment pour leurs partisans. En effet, l’opinion publique ne vous suivra pas parce que vous fustigerez à tout va les décisions gouvernementales, mais parce qu’ils auront foi en vous dans vos analyses objectives de celles-ci tout en faisant des propositions pour éventuellement les améliorer.
Aussi, c’est bien beau de jouer les opposants à l’étranger en appelant continuellement à la contestation mais, c’est encore mieux d’aller le faire là ou les débats et les VRAIS hommes politiques se trouvent, au Gabon.
A Bon Entendeur, Salut
Harold Boukoubi
PDG-USA
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