FEDERATION PDG USA

Le Blog de la Federation Emergente du PDG aux USA

posté le 16-09-2011 à 17:52:39

Nous souhaitons que les cadres de la fonction publique deviennent des managers… »

 

 

Libreville, 16 Septembre (GABONEWS) – Dans une interview réalisée récemment par le Cabinet Oxford Business Group (OBG), le premier ministre Gabonais Paul Biyoghé Mba aborde un nombre de pan du développement du pays allant du perfectionnement de l’administration, à la gabonisation des emploies, des opportunités d’investissement en passant par les questions de chômage.

Quelles sont les priorités pour diversifier l’économie gabonaise tout en intégrant les zones rurales au développement?

Biyoghé Mba: Depuis l’indépendance du Gabon, notre économie n’est soutenue que par trois produits: le bois, le manganèse et le pétrole. Nous avons décidé de diversifier nos sources de revenus et d’industrialiser notre économie comme c’est le cas pour le secteur du bois. La diversification se fera à partir de nos propres ressources; nous disposons de la terre, de la forêt, des ressources minières et de la faune. Nous souhaitons en tirer le maximum de profits et élargir notre base de production créant de la valeur ajoutée à chaque stade d’exploitation de nos ressources naturelles.

Pour diversifier notre économie, nous devons aussi multiplier le nombre de partenaires afin d’utiliser différents modes de fabrication et de production. Nos partenaires traditionnels sont encouragés à faire plus pour notre économie et nous travaillons pour favoriser l’implantation de nouveaux investisseurs et conclure de nouveaux partenariats. Pour favoriser les investissements directs à l’étranger (IDE), nous devons fournir aux investisseurs les meilleures conditions possibles pour développer leur activité, investir et faire des bénéfices dans un environnement sain et attrayant. Nous révisons ainsi nos lois pour leur donner plus de souplesse et de flexibilité, notamment dans la gestion de l’entreprise, la sécurité des personnes et des biens par un remaniement des différents codes d’investissements sectoriels. Nous mettons un accent sur l’état de droit : le respect des lois au Gabon dans toutes les composantes de l’économie comme de la société est primordial.

Le développement et l’émergence du Gabon passe par les zones rurales. Il nous faut donc les doter des infrastructures minimums pour attirer l’investissement: les routes, l’énergie, l’eau et les structures de formation.

Quelle sera l’impact sur la législation du travail des grèves du secteur pétrolier?

Biyoghé Mba: Les grèves du secteur pétrolier ont permis aux autorités de se rendre compte que dans les faits les mesures d’ordre législatif et réglementaire en faveur de la gabonisation des postes n’ont pas été correctement appliquées. Les grèves ont eu un impact négatif sur le chiffre d’affaires et l’activité des sociétés pétrolières. Mais les accords signés par l’ONEP et le gouvernement ont entrainé une période d’accalmie qui a permis aux entreprises de rattraper le temps perdu et donné une bouffée d’espoir aux travailleurs de ce secteur grâce au développement des plans de carrière, à l’amélioration des conditions de travail, à la sécurité sociale… et entraine une meilleure productivité.

Nous demandons aussi que les syndicats éduquent les travailleurs. Ils ont des droits, mais aussi des devoirs. La grève doit être la dernière solution d’un employé, en cas d’échec des négociations. Les salariés ne peuvent pas faire grève à chaque fois qu’ils rencontrent un différent, il faut favoriser et trouver des solutions par le dialogue. Ainsi depuis 18 mois, nous avons instauré le préavis de grève afin de disposer d’un laps de temps pour négocier.

Comment concilier la gabonisation des emplois tout en assurant la disponibilité de la main d’œuvre dans le secteur privé ?

Biyoghé Mba: Nous travaillons de concert avec le secteur privé et les entreprises nous expriment leurs besoins en termes de main d’œuvre et de qualification. Une entreprise ne peut être empêchée de recruter les travailleurs dont elle a besoin sans mettre ses activités en danger. Néanmoins nous ne pouvons pas laisser une entreprise qui gagne de l’argent au Gabon recruter à l’extérieur sans contribuer à la mise en place de structures de formation. Nous avons donc invité les opérateurs économiques à mettre en place des plans de formation en collaboration avec l’Etat afin de former les travailleurs gabonais. La vocation des entreprises n’est pas de former, mais de perfectionner les travailleurs et d’utiliser leurs compétences. Néanmoins, face aux problèmes de qualification actuels et dans l’intérêt de la stabilité de notre société, nous demandons au secteur privé de nous accompagner dans la lutte contre le chômage. Au final les entreprises seront gagnantes car elles pourront recruter localement des gens compétents à des couts beaucoup plus attractifs que les expatriés. Ce processus est engagé avec Total Gabon, Comilog et la Chambre de Commerce afin de développer les établissements qui formeront les gabonais aux métiers demandés sur le marché du travail.

Comment améliorer les compétences des agents publics afin de soutenir efficacement la politique de l’Emergence et le développement du pays?

Biyoghé Mba: Pendant la colonisation, travailler dans le secteur public était un signe de réussite. Cela a marqué profondément plusieurs générations de gabonais. Aujourd’hui notre administration connait d’énormes insuffisances et comprend plusieurs personnes non qualifiées, néanmoins elle possède aussi des cadres de valeur disposant d’une grande capacité d’adaptation. Pour combler ce fossé, nous formons et perfectionnons nos agents afin qu’ils puissent répondre aux attentes de la population et des entreprises. Plusieurs accords de partenariat ont été signés dans ce sens avec des écoles de commerce en France au Canada,) en Corée du Sud et au Singapour, pour animer des séminaires à l’intention des cadres de l’administration centrale.

L’administration laissée par la France était un organe d’exécution, de contrôle, de régulation. Nous souhaitons que les cadres de la fonction publique deviennent des managers, des personnes qui gèrent leurs services avec la même efficacité que dans le secteur privé. C’est la raison pour laquelle nous avons également fait appel à HEC Paris, une école de commerce privée, pour améliorer les capacités managériales des responsables de services administratifs. Le fonctionnaire de demain, celui de l’émergence doit être capable de parler le même langage que les opérateurs privés et de participer à l’émergence de notre économie.

Source et auteur : OBG

 


 
 
posté le 16-09-2011 à 10:13:50

Discours du President Ali Bongo Ondimba à Franceville avant la Conférence de presse


« Mesdames, Messieurs,
Le septième Conseil des Ministres délocalisé s’est tenu à Franceville ce jeudi 15 septembre 2011. Il intervient après ceux de Port Gentil, d’Oyem, de Tchibanga, de Makokou, de Koulamoutou et de Lambaréné.

Je me réjouis de cette initiative qui permet au gouvernement de renforcer la connaissance du pays afin de mieux adapter les politiques sectorielles.

Les points ci-après ont été abordés :

A.    Dans le domaine des Infrastructures

1)    En ce qui concerne l’Eau et l’Électricité

Je me suis fixé comme ambition, celle de faire du Gabon un pays émergent à l’horizon 2025. Cette ambition suppose l’érection d’une économie diversifiée s’appuyant sur trois piliers : le Gabon Industriel, le Gabon Vert et le Gabon des Services.

Le secteur de l’électricité et de l’eau potable constitue donc un élément incontournable pour la réalisation de cette ambition, et un préalable à la diversification économique, en tant que vecteur clé de la lutte contre la pauvreté et du développement industriel. Il est donc clair que le secteur de l’électricité et de l’eau potable doit pouvoir porter l’ambition du Gabon Emergent.

Le diagnostic stratégique du secteur fait ressortir que l’offre électrique et de l’eau potable est structurellement déficitaire depuis une dizaine d’années, provoquant ainsi la situation que nous connaissons aujourd’hui marquée par des délestages permanents dans presque l’ensemble du territoire et surtout à Libreville et Port Gentil.

Pour permettre de rattraper ce retard, j’ai entamé des reformes structurelles: la création d’une agence de régulation des secteurs eau électricité, la création du Fonds de Financement des Infrastructures, la création de la Société de Patrimoine et mis en place un programme d’investissement ambitieux. Afin de renforcer le coté opérationnel de notre stratégie, l’Etat vient de rentrer au capital de SETEG dont il devient l’actionnaire principal. Cette entrée au capital permettra la construction des infrastructures d’eau et d’électricité, la réduction des coûts des travaux sur l’ensemble du territoire, et la sécurisation de l’accès à l’eau potable et l’électricité. Au cours de mon intervention du 16 août, je rappelais l’obligation de procéder au lancement de certains travaux structurants afin de mettre fin au déficit en eau potable à Libreville. J’ai donc le plaisir d’annoncer qu’une enveloppe de 94 milliards de FCFA est disponible et affectée aux travaux suivants :

Pose d’une troisième conduite de diamètre 1200 entre Ntoum et Libreville pour un montant de 60 milliards de FCFA. Les travaux seront réalisés par l’entreprise SETEG. Il reviendra à la SEEG de procéder à la construction de la station Ntoum 7 ;

Pose d’une conduite de diamètre 800 entre le camp de Gaulle et Agondjé et construction d’un nouveau château d’eau à Agondjé afin de renforcer l’alimentation en eau de la zone nord pour un montant de 12 milliards de FCFA, les travaux seront réalisés par l’entreprise SOBEA ;

Lancement d’un programme de renforcement des capacités de production et de distribution d’eau dans certaines localités de l’intérieur pour un montant de 12 milliards de FCFA.

Ces travaux seront réalisés par l’entreprise SETEG. Compte tenu des efforts importants consentis par L’Etat, j’invite tous les acteurs du secteur à assumer pleinement leur responsabilité en accord avec l’ambition nouvelle du Gabon. Dans ce sens, l’Etat a procédé au règlement de toutes les sommes dues à la SEEG soit 11,5 milliards de FCFA.

2) Sur le Volet des infrastructures routières :

Il ressort de ces tournées provinciales un constat amer du fait de l’état déplorable des voiries de nos différentes capitales départementales, en dépit des moyens substantiels dégagés dans le cadre des fêtes tournantes.

J’ai donc instruit le Ministre de l’Equipement et le Ministre du Budget d’inscrire à partir de 2012 sur 3 ans une dotation de 25 milliards de FCFA par an, soit au total une enveloppe de 75 milliards, destinée au financement des voiries des capitales provinciales et départementales sur l’ensemble du territoire national.

B. Gratuité de la délivrance des actes d’état-civil

Constatant que pour des raisons financières bon nombre de nos compatriotes éprouvent des difficultés à obtenir des documents d’actes administratifs, notamment les jugements supplétifs et les actes de naissance, il est désormais instauré en République Gabonaise la gratuité de la délivrance des jugements supplétifs et actes de naissance.

Les Ministres en charge de la Justice, du Budget et de l’Intérieur sont chargés chacun en ce qui les concerne de la bonne exécution et du suivi des présentes instructions.

C. Formation

Lors du Conseil de Ministres de Makokou, j’avais décidé de la création d’une Agence Nationale des Bourses et Stages afin de rendre plus efficace la gestion des bourses et plus efficiente la formation des gabonais. Celle-ci est désormais opérationnelle et les premières mesures vont dans le sens de l’objectif recherché.

Désormais les pouvoirs de cette agence sont étendus aux bourses de coopération ainsi que celles financées par les entreprises privées dans les différents départements ministériels dans le cadre des accords passés avec l’Etat.

Dans le souci de renforcer le système de formation et de justice sociale, j’ai décidé de transférer la gestion des bourses accordées au Ministère des Mines et du Pétrole, appelées couramment « bourses du pétrole » à l’Agence Nationale des Bourses et stages. Ces « bourses du pétrole » étaient accordées jusque là sans une gouvernance appropriée et sans tenir compte de la performance scolaire des bénéficiaires.

D. Négociations avec les partenaires sociaux

A l’issue du Conseil des Ministres délocalisé de Makokou et suite à la grève de l’ONEP, une négociation entre le Gouvernement et ce syndicat avait été sanctionnée par la signature d’un procès- verbal.

A ce jour, force est de constater que les points d’accord sont restés en suspens. Aussi, je demande aux Ministres en charge du Travail, des Hydrocarbures et de l’Intérieur de se retrouver avec les partenaires sociaux et le patronat de ce secteur, notamment l’ONEP et l’UPEGA et de proposer au Gouvernement les mesures urgentes issues du consensus qui s’imposent dans un délai de huit jours.

E. Responsabilité sociale des Entreprises

Au cours de ma visite dans le Haut-Ogooué, précisément à Mounana, j’ai été emmené à constater une fois de plus les conséquences négatives que pourrait avoir la non prise en compte de la responsabilité sociale des entreprises dans le cadre de l’exploitation des ressources naturelles.

Les risques encourus suite à l’exploitation des ressources naturelles sont bien connus tant du point de vue de l’écologie (pollution) que du point de vue de l’épuisement de la ressource.

J’instruis donc les Ministres des Mines et de l’Economie de procéder à la formalisation des obligations des entreprises en territoire gabonais dans le domaine des mines et des hydrocarbures en généralisant le mécanisme de la PID/PIH.

Pour les villes minières et pétrolières, ce dispositif va accroitre le niveau des investissements collectifs et permettre aux entreprises de participer au côté de l’Etat à l’amélioration des conditions de vie des populations.

Dans ce contexte, la totalité des financements issus de la PID et la PIH sera affectée à des projets structurants ou à fort impact social. C’est dans ce cadre que sera financée la nouvelle centrale thermique à gaz de Port Gentil dont les travaux devront démarrer incessamment.

F. Reforme budgétaire

Conformément à la décision du Conseil des Ministres délocalisé du 04 Mars 2010 à Port-Gentil, sont confirmées :

La dissolution de l’actuelle Direction Générale du Contrôle Financier (DGCF);

La dissolution de l’actuelle Direction Générale de la Comptabilité Publique (DGCP).

En conséquence, je demande au gouvernement de procéder aux organisations suivantes:

Réorienter la Direction Générale du Budget par le rattachement et le renforcement opérationnel des Directeurs Centraux des Affaires Financières;

Intégrer la Comptabilité Publique et l’Agence Judiciaire du Trésor dans la Direction Générale des Services du Trésor.

Créer une Direction Générale du Contrôle des Ressources et des Charges Publiques (DGCRCP) qui aura pour mission de renforcer le contrôle de la réalité du service fait et d’assurer la surveillance générale des ressources et charges globales de l’Etat. Cette Direction Générale, vient remplacer l’ancienne Direction Générale du Contrôle Financier. L’ensemble des agents de ces Directions Générales dissoutes est mis à la disposition du Secrétariat Général du Ministère du Budget, des Comptes Publics, de la Fonction Publique Chargé de la Réforme de l’Etat pour un redéploiement des effectifs.

Enfin, nous convenons tous que l’actuel Code des Marchés Publics est inadapté aux récentes évolutions de la gestion de la commande publique. J’ai donc décidé la mise en place d’un nouveau Code des Marchés Publics qui a pour objectif de rendre obligatoire le jeu de la concurrence pour une meilleure efficacité de la dépense publique, d’assurer le respect de l’application des règles et procédures en matières de passation des marchés publics et d’établir un partenariat plus solide entre le gouvernement et les bailleurs de fonds. Cette réforme implique la mise en place d’une Agence de Régulation des Marchés Publics et d’une Direction Générale des Marchés Publics dans un délai de 45 jours.

II.EN CE QUI CONCERNE LA PROVINCE DU HAUT OGOOUE

Cette province qui nous accueille est confrontée aux mêmes difficultés que toutes les autres provinces.

A l’issue de cette tournée provinciale les mesures ci-après ont été prises :

1. Renforcement des capacités opérationnelles de l’administration par l’octroi des véhicules comme dans d’autres provinces;

2. Lancement des travaux d’adduction d’eau potable à Moanda, Mounana, Bakoumba, Okondja dès la semaine prochaine ;

3. Démarrage des travaux de réhabilitation de l’éclairage public des villes de Franceville, Moanda, Mounana ;

4. Construction à Moanda d’une Ecole des Mines financée par Eramet-Comilog dans le cadre d’un partenariat public privé ;

5. Démarrage imminent des travaux de construction de l’Ecole des Douanes de Léconi.

6. Démarrage des travaux des voiries des capitales départementales du Haut-Ogooué dès 2012.

Par ailleurs, le conseil de ce jour me donne l’occasion de réaffirmer l’option choisie par le gouvernement de développer l’Agriculture sur le territoire national. Pour le Haut-Ogooué, cela permettra de sortir de la forte dépendance actuelle envers les matières premières tirées des mines en permettant notamment d’assurer l’autosuffisance alimentaire, de garantir une plus grande création d’emploi, et une plus large répartition des revenus.

Compte tenu de ce qui précède, j’ai décidé de créer une zone de développement agricole qui s’étendra sur 70 000 hectares entre Franceville et Boumango et générera 5000 emplois.

En outre, j’ai instruit le gouvernement d’engager des discussions avec le groupe CASTEL en vue de procéder à la réhabilitation de l’usine et l’extension des plantations de SUCAF pour en faire une entreprise compétitive.

Ma volonté est de lancer un vaste programme visant à faire de la SUCAF un producteur significatif dans la sous-région.

Je vous remercie. »

 


 
 
posté le 16-09-2011 à 10:04:40

Ali Bongo Ondimba annonce la dissolution de deux directions générales du ministère du budget

LIBREVILLE (AGP) - Le président Ali Bongo Ondimba a annoncé, jeudi à Franceville (sud-est), la dissolution des directions générales du contrôle financier et de la comptabilité publique du ministère du budget.

 
 

 

"Conformément à la décision du conseil des ministres tenu à Port-Gentil (mars 2010) sont confirmées, les dissolutions de l’actuelle direction générale du contrôle financier et la direction générale de la comptabilité publique", a déclaré le chef de l’Etat dans une déclaration lue avant la conférence de presse qu’il a donnée à l’issue du 7ème conseil des ministres délocalisé tenu à Franceville, chef-lieu de le province du Haut-Ogooué, à 650 km au sud-est de Libreville.

 

Il a demandé au gouvernement de procéder à une réorientation des deux directions générales dissoutes.

Par ailleurs, le président Ali Bongo Ondimba a annoncé la création d’une direction générale du contrôle des ressources et des charges publiques qui aura pour mission de renforcer le contrôle de la réalité du service fait et d’assurer la surveillance générale des ressources et des charges globales de l’Etat.

Les missions jadis dévolues aux deux directions générales dissoutes seront désormais intégrées dans la nouvelle entité alolrs que leurs agents ont été mis à la disposition du secrétariat général du ministère du Budget pour un redéploiement.

 


 
 
posté le 15-09-2011 à 13:18:39

L'Echec du BDP et pourquoi MENGARA ne peut etre pris au serieux

 

 

 

Pour nombre d'entre nous, c'est au Lycee ou a l'ecole primaire que nous avons entendu parler du BDP (Bongo Doit Partir). A l'epoque cela sonnait comme une revendication sincere du peuple Gabonais de la diaspora. Tres vite on a compris qu'il s'agissait bien d'une poignee d'amis qui avaient decider de se faire de "l'argent facil". 

A cette epoque ils avaient compris que toutes formes de mecontement manifestee publiquement a l'encontre du feu President Omar Bongo etait un parfait fonds de commerce. Et puisque c'est un " BUSINESS POLITIQUE" Il fallait le garder hermetiquement ferme a l'exterieur.

 

La solution trouvee a cet effet etait de le rendre accessible qu'a une poignee d'amis et quelques figurants externes. La suite nous la connaissons: Mengara devait "jouer les durs" et pretendre "refuser" de rencontrer Bongo, deleguer ses acolytes "malgre eux" et se partager le butin. Oui La demarche de Mengara etait toute aussi limpide que toute personne logique ne s'en douterait. Nous savons (et ce n'est plus un secret pour personne) que tous  se sont engraisses derriere le "dos" de l'entreprise BDP. 

Son gerant, un insomniaque Mengara ne connait que l'injure et la calomnie pour faire chanter le pouvoir en place. Il dit une chose et son contraire et aime faire savoir a ceux qui l'entendent que sa seule vision pour le Gabon est la "disparition de la famille Bongo". Il ne se preoccupe guerre de la femme qui parcoure 5 kilometres pour se rendre a l'hopital, encore moins de cette jeunesse qui a tant besoin du support de l'Etat pour se rendre utile et de ses compatriotes qui vivent dans la souffrance. Il ne voit le Gabon vivable que lorsque le nom Bongo sera interdit de prononciation publique.

Quelle est cette vision ? Si ce n'est soit de la haine soit un "moyen de se faire de l'argent facilement ? Pour ce qui de la haine elle ne semble constituer que le socle de ce fonds de commerce.

Le BDP a t-on compris n'est que l'affaire d'une seule personne. Qui embauche et "fire" qui il veut quand il le veut. 

 

Aujourd'hui les choses ont change. Mengara qui n'a su "essayer" de faire adherer les Gabonais a son "business", a compris que le President Ali Bongo Ondimba ne jette pas l'argent par les fenetres.

Conscient de cette situation Mengara essaies de se ratrapper  en s'alliant a d'autres qui partagent cette haine contre la famille Bongo. La plateforme citoyenne nee d'une alliance contre nature entre le BDPiste et les nouveaux mecontents (qui eux meme ne sont qu'une poignee), ne saurait survivre au manque de vision commune autre que le depart d'Ali Bongo et a la recherche d'interet speciaux qui animent certains depuis de longues annees d'une part parceque le President Ali Bongo ne joue pas a ce jeux d'autre part parceque il est clair que certains ont reussi a faire accepter de force aux autres une vision aussi vouee a l'echec que celle de la Disparition des Bongos.

Entre fonds de commerce et desir de contribuer au developpement de son pays, MENGARA  prends un autre risque celui de se meler a ceux qui ne partagent pas la meme vision que lui mais qui peuvent lui donner le credit du nombre meme si la fameuse plateforme citoyenne ne compte environ que 16 membres (venus de tous les Etats-Unis d'Amerique).

Si en dix ans on n'a pas su faire adherer plus de dix personnes a son "Parti", comment compte t-on gerer un Etat ? Si on ne peux etre proche de sa communaute, comment peut t-on rassembler un pays ? En clair en s'essayant en politique au plus haut niveau, Mengara a creuse sa propre tombe politique. Nous les temoins de ses incapacites lui demanderons si c'est parceque la famille Bongo etait au Gabon qu'il a manque de montrer qu'il etait capable de gerer un Pays, du moins un "Web Business" ou un "Mouvement (puisque nous n'avons pas eu la chance de le faire en 2009). 

On ne s'etonne plus de ce qu'il pleurniche a l'idee de voir son site internet fermer, si pour lui ce serait sa fin, nous lui dirons que sa fin politique a commence le jour qu'il a ouvert le web site de son entreprise "Business Dans la Politique" BDP-Gabon...

 

Pour la petite histoire seul 0.5 gabonais sur 10 vivant aux USA ont vu Mengara de leurs yeux et ce malgre le bruit qu'il fait depuis 10 ans. Mais de quoi a t-il peur ? De la Communaute certainement...ou peut etre de tous les supporteurs du President repandu a travers le pays.

 

Source: Federation PDG Etats-Unis

 


 
 
posté le 14-09-2011 à 23:52:39

La Mascotte de la CAN 2012 officiellement presentee !

 

 

 

 

(Gaboneco):Jules Marius Ogouebandja, le Haut-commissaire du Cocan Gabon a donné une conférence de presse, ce 14 septembre, visant à démontrer que le rêve de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) s’encre de plus en plus dans la réalité et se matérialise notamment avec la présentation, ce vendredi 16 septembre, de la mascotte de cette édition, GAGUIE. L’évènement donnera lieu à un concert avec Fally Ipupa, Pierre-Claver Akendengué, Patience Dabany, Franck Baponga, Landry Ifouta et Omar Defunzu, entre autres.

«Les jeunes me kiffent».
«Les femmes m’adorent».
«Les hommes m’admirent».
Des accroches lues sur les panneaux publicitaires 4X3 des grandes villes du Gabon et sur des pleines pages des deux quotidiens que compte le Gabon. Et elles ont provoqué bien de controverses. Certains pensant, à l’approche des élections législatives, qu’il s’agissait de la pré-campagne électorale d’un homme politique. Mais, à bien y regarder, le personnage de ce teasing ayant une forte pilosité, nombreux ont compris qu’il s’agit de GAGUIE, la mascotte de la Coupe d'Afrique Orange 2012. La campagne publicitaire donne d’ailleurs rendez-vous le 16 septembre au Boulevard Triomphal

Le voile à ce sujet a été levé, pour la presse, le 2 septembre dernier à l’occasion d’une communication de Louis-Claude Moundzieoud Koumba, chef du projet médias de la Commission Communication et Marketing du Comité d’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations (Cocan Gabon). Celui-ci a expliqué que GAGUIE, le nom de la mascotte, est l’acronyme de Gabon et Guinée Equatoriale. Ainsi que la campagne de teasing le laissait transparaitre, la mascotte représente un singe, animal emblématique des forêts des bassins du Congo dont le Gabon et la Guinée Equatoriale font partie. Cette mascotte, contrairement à certaines informations, a été conçue par la Gabonaise d'Edition et de Communication (GEC).

«Le singe a été choisi comme symbole parce que la CAN 2012 est placée sous le signe de la protection de l'environnement», a excpliqué Moundzieoud Koumba avant d’ajouter que l’année 2011 est placée sous le signe de la protection des grands singes.

«GAGUIE, symbolise les efforts de conservation consentis par les deux pays depuis un certains nombre d’années», a assuré, le 14 septembre au cours d’une conférence de presse, Jules Marius Ogouebandja. Le Haut-commissaire du Cocan Gabon a déclaré, auparavant, que la «première étape de la réussite de l’organisation de la 28è édition de la Coupe d’Afrique des Nations [sera] le lancement de la cérémonie de la Mascotte officielle GAGUIE, du nom des deux pays».

Contrairement à ce qui a été écrit, la présentation de GAGUIE se fera au cours d’une cérémonie conjointe, en présence des autorités des deux pays. Programmée sur l’esplanade du Sénat à Libreville, cette cérémonie sera suivie d’un concert et d’une caravane à travers les artères de Libreville et d’Owendo. Au titre des artistes invités à se produire à cette occasion, on compte Patience Dabany, Pierre-Claver Akendengué, Franck Baponga, Landry Ifouta, Omar Defunzu et Fally Ipupa, un choix de la Guinée Equatoriale.

 

 

 


Source : Gaboneco.com     Auteur : Gaboneco   

 

 


 
 
posté le 14-09-2011 à 23:40:52

Ali Bongo Ondimba préside un Conseil des Ministres ce jeudi à Franceville

A l’issue de ces assises, une conférence de presse sera animée par le numéro un gabonais, qui séjourne dans cette Province depuis dimanche dernier dans le cadre d’une tournée républicaine.

L’occasion faisant le larron, le Président de la République gabonaise expliquera à la presse sa politique de développement de l’intérieur du pays. Il répondra ainsi, à toutes les questions des hommes et des femmes de médias y compris celles liées à l’actualité internationale.

Il ne manquera certainement pas de répondre à des questions sur « l’Affaire Bourgi » qui défraie la chronique.

A titre de rappel, l’Avocat franco-libanais s’est présenté dans la presse française comme le porteur des valises parties d’Afrique pour l’Elysée. Dans ces valises, des milliers des liasses d’argent en Franc Français de l’époque, en Dollar ou en Euro.

A en croire l’Avocat franco-libanais, les donateurs seraient, le défunt Président Omar Bongo Ondimba, Denis Sassou Nguesso (Congo), Blaise Campaoré (Burkina Faso), Abdoulaye Wade (Sénégal), Laurent Gbagbo (Côte d’Ivoire) et Teodoro Obiang Nguéma (Guinée Equatoriale).

Les bénéficiaires seraient, selon M. Bourgi, l’ancien Président français Jacques Chirac, l’ancien Secrétaire Général de l’Elysée Dominique de Villepin y compris l’ancien Président du Front National, Jean Marie Le Pen. Chirac et Villepin ont décidé de porter plainte contre M. Bourgi.

Il sied de noter que dans la Province du Haut Ogooué, le numéro un gabonais a fait le tour de toutes les principales villes comme il l’a fait lors des précédentes étapes de cette tournée républicaine.

Il s’est rendu notamment à Boumango, à Bakoumba, à Moanda, à Mounana à Okondja, à Aboumi, à Onga, à Akiéni, à Leconi, à Ngouoni et à Bongoville.

 

 


 
 
posté le 14-09-2011 à 22:17:50

Le Parti Democratique Gabonais annonce le lancement imminent d'une version renovee de son site internet

 

Le site officiel du Parti Democratique Gabonais est en cours d'actualisation et sera relance avec un nouveau visage. C'est l'annonce faite par le Secretariat General sur la page d'accueil de l'actuel site.

Soyez les premiers a decouvrir le site renove du Parti de masse: www.pdg.ga

 

Nous y reviendrons !

 

 


 
 
posté le 13-09-2011 à 13:35:15

John Bitar un homme d'affaire Franco-Libanais relate le potentiel du Gabon en matiere d'Investissement


 

 

Dans un entretien accordé à la presse lors de l’inauguration de la première phase de la Zone économique spéciale (ZES) de Nkok, située à 27 km de Libreville, le Président fondateur des entreprises Leroy-Gabon et Pogab, John Bitar, établi dans ce nouvel espace d’affaire à travers une société baptisée de son nom a déclaré que «Le Gabon est un pays stable qui offre d’énormes potentialités ».

Pour John Bitar, «le Gabon est un pays stable en matière d’affaire. Deuxièmement, le Président de ce pays a entrepris une nouvelle vision consistant à transformer le bois au Gabon avant de l’exporter. Dans ce contexte, il y a beaucoup de potentialités durables ici », développé John Bitar qui figure parmi les quatre premières entreprises gabonaises installées à Nkok.

En terme davantage, l’homme d’affaire franco-libanais qui a forgé sa réputation dans les métiers du bois, a indiqué que les entreprises installées à Nkok sont exonérées de toutes taxes.

Sur le fonctionnement de ses entreprises établies au Gabon, John Bitar a souligné que ces deux structures sont spécialisées dans les métiers du bois, à la seule différence que « John Bitar- Gabon », s’occupera du tranchage des grumes par rapport à « Leroy-Gabon et Pogab », spécialisées dans le déroulage.

Pour John Bitar, ces investissements représentent 3 à 5 années de travail soit 25.000.000 millions d’Euros (près de 20 milliards de francs CFA).

« Pour le personnel, nous allons recruter jusqu’à 1000 personnes », a-t-il garantie. De même, un recrutement massif est prévu en vue d’élargir le volume de production et les capacités des usines. Il veut passer de 275 employés actuellement à 1000 en réintégrant les travailleurs licenciés. Au Ghana où il figure parmi les grands industriels, il emploie plus de 3000 personnes.

Sur la santé de Leroy-Gabon et Pogab, ses premières acquisitions au Gabon, cet investisseur entend aussi augmenter la production à 3000m3 cette année à travers la réouverture imminente de l’exploitation des grumes à Ngongué dans la province de l’Ogooué-Lolo (sud-est).

Il a également promis « de mettre en place un plan d’aménagement pour la certification du bois », et de « renforcer l’investissement avec l’achat de nouveaux matériels », déjà présent à Pogab au siège d’Owendo.

Sur les carrières des employés, il s’est engagé à améliorer leurs conditions de travail et à renforcer le transfert des technologies à partir de la formation, entre autres.

Ce programme, a-t-il conclu, est en phase avec des piliers du programme d’action du Chef de l’Etat : « le Gabon vert et le Gabon industriel». Selon lui, son plan d’action a rencontré l’assentiment des autorités gabonaises en charge de la politique des forêts.


 

 


 
 
posté le 13-09-2011 à 10:27:05

TOURNEE DU CHEF DE L'ETAT DS LE HAUT-OGOOUEE: ETAPE DE MOUNANA

 

 

 

Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba, est arrivé le dimanche 11 septembre en fin de matinée à l’aéroport international de Mvengué (à 25 km de Franceville) où il a été accueilli par une population en liesse. Cette visite s’inscrit dans le cadre d’une tournée républicaine et du 7e conseil des ministres délocalisé que la province du Haut-Ogooué abritera le jeudi 15 septembre courant.

Accueilli au bas de la passerelle par le Premier ministre, Paul Biyoghé Mba, le président a pris un bain de foule avant d’emprunter son hélicoptère de commandement pour la localité de Boumango, à 90 km à l’Est de Franceville, où il a animé un meeting. Un autre meeting, clôturant cette première journée, a été tenu sur la place de l’indépendance de Franceville, chef-lieu de la province.

Dans la première localité visitée, Ali Bongo a expliqué que «Les populations de Boumango ne sont ni oubliés, ni délaissées. Ils méritent le même traitement que les autres de tous les départements du pays», avant de promettre qu’ « à partir de la CIAB qui a été un échec, nous allons bâtir ensemble un autre projet et faire en sorte que nous ne puissions pas connaitre les mêmes les problèmes. Une fois qu’on connait les problèmes, on trouve les solutions ».

Ce lundi 12 septembre, le président gabonais a rencontré les populations des villes minières de Moanda et de Mounana. Déplorant sans doute l’absence de Zacharie Myboto, député de Mounana et président de la défunte Union nationale qui a tenu à ne pas assister à cette tournée, non sans l’avoir expliqué à ses électeurs en fin de semaine dernière, le président Ali Bongo rappelé que «cela ne doit pas être l’occasion de manquer de civilité, de manquer de politesse. Lorsque le Chef de l’Etat vient dans n’importe quelle localité du pays, les responsables doivent être là pour l’accueillir pour le respect à l’institution ».

Les doléances des populations de ces villes qui tournent essentiellement autour du chômage, des ennuis environnementaux, de l’habitat, la route, l’adduction d’eau, l’extension du réseau électrique et l’éducation, ont été transmises au président de la République qui a, entre autres, annoncé la construction à Moanda du nouveau siège de la Compagnie minière de l’Ogooué (COMILOG).

Selon le programme annoncé, la délégation présidentielle sera le mardi 13 septembre dans les villes d’Okondja, Aboumi, Onga et Akiéni. La tournée se poursuivra le 14 septembre avec Ngouoni, Bongoville et Franceville où vont se tenir, le 15 septembre, les travaux du 7è conseil des ministres délocalisé. Une conférence de presse animée par le chef de l’Etat clôturera cette 7è tournée républicaine.
 


 
 
posté le 13-09-2011 à 10:09:20

Société / Un émissaire d’Ali Bongo Ondimba chez Obiang Nguema Mbasogo

 

 

 

Jules Marius Ogouebandja, Haut-Commissaire du Comité d’organisation de la Coupe d’Afrique de football (COCAN Gabon)  a été mandaté par le chef de l’Etat gabonais Ali Bongo Ondimba pour transmettre un message à son homologue de la Guinée Equatoriale, Obiang Nguema Mbasogo.

Le Haut-Commissaire du COCAN Gabon à la tête d’une délégation sera reçu ce mardi au palais du chef de l’Etat Equato-guinéen.

Les deux pays, Gabon et Guinée Equatoriale, co-organisent la 28ème édition de la CAN Orange 2012, du 21 janvier au 12 février 2012, et multiplient ces derniers temps des échanges dans le cadre de la réussite de cet évènement.

Tout porte à croire qu’à quelques jours de la présentation officielle de la mascotte ‘’GAGUIE’’ à Libreville au cours d’une cérémonie conjointe, ce message du chef de l’Etat gabonais à trait, à cet évènement majeur.

 


 
 
 

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